Transpositions
Éditions Méridianes
De 1941 à 1987, quinze gouaches en regard de la toile qu’elles ont inspiré pour visualiser la façon dont Richarme transpose le réel dans son œuvre à l’huile.
Couverture souple, 17×23 cm.
Réalisation Régine Monod
14€ + frais de port éventuels
ou par chèque en nous contactant pour les modalités à suivre.
HelloAsso est une entreprise solidaire d’utilité sociale fournissant une technologie sécurisée de paiement, gratuitement, à plus de 100 000 associations françaises.
Autres articles
Colette Richarme (1904-1991)
Une artiste en quête d’absolu Éditions Deuxième époque sous la direction de Jean-Luc Bourges et Régine Monod De la Chine à Montpellier en passant par
Impressions méditerranéennes
Éditions Méridianes
Un dialogue entre plume et pinceau évoquant la diversité des paysages entre Montpellier, Sète, les étangs, la Garrigue ou le Pic Saint Loup.
Couverture cartonnée, 19×26. Réalisation Régine Monod et Pierre Manuel
De Colette à Richarme, passages
Un film de Guy Lochard, réalisé par Olivier Guérin.
« De colette à Richarme, passages, un beau documentaire de Guy Lochard et Olivier Guérin, m’a permis de revivre les heures heureuses et intenses que j’ai passées auprès de Mme Richarme » Akira Mitsubayashi
- Livre
De 1941 à 1987, quinze gouaches en regard de la toile qu’elles ont inspiré pour visualiser la façon dont Richarme transpose le réel dans son œuvre à l’huile.
Couverture souple, 17×23 cm.
Réalisation Régine Monod
« De Colette à Richarme, passages, un beau documentaire de Guy Lochard et Olivier Guérin, m’a permis de revivre les heures heureuses et intenses que j’ai passées auprès de Madame Richarme. Je ne crois pas qu’elle m’ait beaucoup parlé de son travail de peintre. Mais j’aimais monter dans son atelier pour regarder les travaux en cours. Un jour, j’ai vu un petit tableau représentant un bouquet d’anémones. Quelques jours plus tard, je suis allé en ville acheter des anémones rouges et violettes pour les offrir à la jeune fille devenue depuis mon épouse et qui m’avait introduit. Peu après, nous sommes allés au Théâtre avec Madame Richarme et sa fille Michèle pour y assister à un concert. La Quatrième symphonie de Bruckner était au programme. Au sortir du concert, Madame Richarme m’a confié qu’elle avait entendu chanter des oiseaux partout dans cette musique comme dans une forêt profonde Aujourd’hui, dans [ses] tableaux où, quels que soient les motifs abordés, parcourent des éclats de lumière et frissonnent des silences nocturnes, je vois des fleurs rouges et violettes et entends des oiseaux de nuit et de jour ».
Akira Mizubayashi